comme me le disait joliment un ami poète du sud occidental de notre belle patrie, au sortir d'une pièce d'eschyle (les perses ce me semble) - ou était-ce après un match de rugby ? - pour me signifier toute l'émotion ressentie, la puissance du verbe eschylien, qui s'apparente pour lui à la voix des dieux antiques, pour résumer sa subjugation (si on me permet quelque néologisme barbare) totale à la vision tragique de l'homme - à l'hybris de xerxès qui noya la perse, pour faire court - me dit au sortir de la représentation, sans autre forme de chichi, mais avec un art sublime de l'économie de mots :
"'tain, ça encule !"
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