samedi 25 juin 2011

twenty four hours

en feuilletant négligeamment le dictionnaire des mots rares et précieux (cf. la bibliographie de ma thèse de doctorat aux chiottes les livres ! sociopsychologie de la littérature aux toilettes, presses universitaires de strasbourg, 2001), je tombe sur le savoureux "nycthémère", qui grosso modo signifie durée de vingt-quatre heures qui correspond à un jour et une nuit et constitue un cycle biologique -

je me dis (ô mon esprit qui toujours fuse pour s'écraser dans la mer !) alors que les zélateurs et adaptateurs de la série eussent pu choisir comme titre nycthémère (au lieu du plat 24 heures) ce qui eût donné une dimension plus universelle à jack bauer (sorte d'universalité gréco latine, homérique en un mot) lequel, en outre, pût remplacer ses lamentables "i'm sorry" (cf. mon petit essai jack bauer l'homme désolé, presses oecuméniques de niedershaeffolsheim, 2009) par de retentissants fuck ou de tonitruants putain, tout de même plus crédibles dans les situations préapocalyptiques décrites par la série //

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