mercredi 27 août 2014

beau comme l'antique

ce qu'on doit à la littérature antique, c'est peut-être d'avoir posé le fondement de toutes les littératures à suivre, à savoir le cri immense et dérisoire de l'homme qui se perd dans l'absurde silence du monde -
la littérature est un hurlement assez dégoûtant, peut-être serait-il temps, à mon âge, de lui préférer les silences...

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