mardi 7 janvier 2014

rip

vous lisez (vous ne le savez pas) ces lignes avec une réelle émotion (vous vous en rendez compte à présent), car vous contemplez un miraculé - mes abats si las voulaient quitter la toile - tel maître gims, cet immense poète, ils ne supportaient plus la gloire et désiraient fuir le succès - recouvrer un anonymat qui mieux leur sied, laissez les partir loin d'ici.
mais les fêtes de fin d'année remplissent les intestins et les abats retrouvent une nouvelle et saine vigueur - ils sont prêts au combat, ils attendent toutes les entérites du monde pour les évacuer et les éliminer, d'un jet viril ou d'une trace légère -
ils leur restent à vous souhaiter de paver notre commun enfer, comme il est de tradition quand naît une année, de bonnes résolutions ou de mauvaises intentions, selon votre spécialité - avant de passer quelques moments en leur compagnie...
 

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