mardi 3 juillet 2012

écriture

mon ami écrivain et penseur paco jimenez alfonso tuco schmitt (troisième du nom) me soufflait hier, entre deux borborygmes (il souffre d'un ulcère chronique et demeure un boulimique impénitent, bref, c'est un gros sac) :
un écrivain doit avoir le courage de ses questions, mais surtout de ses obsessions, dussent-elle le mettre au ban de la société ou pire, de la littérature -

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