il est des jours où, après de longues heures de silence dues à la lecture ou à la méditation, à la mélancolie ou à la fatigue d'être soi, lorsque à nouveau on s'adresse à un être humain et qu'il semble ne pas bien saisir ce qu'on veut lui dire, on en vient à se demander si nous avons vraiment parlé, ou si nous n'avons pas entendu notre voix intérieure, devenue prédominante -
vendredi 15 juillet 2011
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