mercredi 20 juillet 2011

germanopratisme

saint germain des prés et son âme scribouillarde se réveille, un miracle, une résurrection -
un café aux deux magots, pour rassurer le monde littéraire qui le (dé)laissait pour mort -
puis comme il déambulait à la recherche d'une maison d'édition moins frileuse, il eut le sentiment à plusieurs reprises de voir un écrivain dans l'homme attablé devant sa bière ou son café - mais lorsqu'il leur posait la question on lui répondait dans un langue inconnue - un écrivain étranger certainement -
après quoi il eut la certitude de voir paul claudel à l'arrière d'un taxi -
le lendemain il croisa yves saint-laurent, ce qui était logique en somme, puisque il vit à marrakech -
il avait bu l'énergie artistique parisienne  - quelle vie, quelle promesse de vie et de littérature ; vertu apéritive de la clé parisienne -

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