vendredi 5 août 2011

nuit d'addis abeba

après une nuit strasbourgeoise mouvementée, je parcourus au matin la bibliothèque de mon ami martin de w., et tombai sur le mémorable les nuits d'addis-abeba de Sebhat Guebre Egzyaber (dont on se rappellera le nom de son père) -
je relus la préface de monsieur falceto et ne put m'empêcher de marmonner, lisant la phrase qui se voudrait universelle et qui est seulement toute creuse "des femmes. des hommes. universalité de la nuit.", de marmonner donc, "pour ce creux, pour cet universel et insondable abîme de quelques mots de trop, monsieur  falceto, ignatius reilly vous condamne à être pendu par vos testicules sous développés"

1 commentaire:

  1. y a que toi pour mettre les pieds dans le plat mon vieil Isel, Je t'y accompagne. ;-)
    Laurent

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