mardi 14 décembre 2010

de michon à anelka

les marchands de journaux qui sont aussi les vendeurs de timbres fiscaux devaient être de mauvaise humeur aujourd'hui - ce qui me valut une bien étrange pensée pour le troisième à qui je demandais plein de politesse [ici, être poli revient un peu à se faire prendre pour une pédale, ce qui n'est pas fort bien vu] s'il avait un timbre fiscal de 100 dirhams et qui grogna sans aménité un agréable t'as qu'à voir ailleurs - étranges mots qui s'arrêtent à la lisière de mes lèvres va te faire enculer sale fils de pute -
d'abyssinie au maroc - on commence par parler comme pierre michon ou jean echenoz et on finit par grommeler comme anelka - pitoyable trajectoire -

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