jeudi 13 février 2014

théorie de mon gendre

je me permets, en toute immodestie, de rappeler à mes joyeux amis catholiques, des plus ultramontains aux plus intégristes, aux catholiques de tout sexe (non épilé) qui nous les brisent presque aussi menues que les ltbg (épilés pour la plupart) qu'ils obtiennent l'effet inverse de celui escompté - putain ça c'est une nouveauté ! - et que ces derniers font plus pour l'homophobie qu'ils veulent combattre, tout comme les premiers font du tort à jésus marie et joseph, qui heureusement s'en battent l'oeil -
comme disait un chanteur à textes, donnons nous rendez vous dans dix ans, pour voir -
mais je digresse, je me permets de rappeler à mes ouailles (qui ont mal, mais il est bon d'avoir mal et on finit par y trouver de la jouissance, comme disait sade) qui sortent parfois de la doxa - que la langue latine, non solum celle de l'odieux païen ciceron ou de l'ignoble matérialiste lucrèce, sed etiam celle de saint-jérôme (ô mon père bénissez-le) ou d'augustin (dont le nom de famille n'est pas bridou et qui inventa le confessionnal), celle de notre maman l'église - oui mes enfants, mes ouailles et la coquille n'est pas loin quand je songe à vous, rappelez-vous un peu de latin, avant de la ramener avec vos pères et vos mères et de nous donner des leçon de bonne existence ou de bonne conduite, latin qui use d'un troisième genre, le neutre - la langue de la vulgate admet un troisième genre !
crénom de dieu, comme disait mon gendre qui git quelque part dans une forêt d'alsace...

ceci pour lutter contre l'hystérie ambiante (point exclusivement féminine pour le coup) et faire avancer un débat, sinon létal, du moins fort mâle en point.

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