mardi 2 juillet 2013

tintin et corto

il y a toujours quelque chose d'assez jouissif - je suis un être de jubilation - à asséner à bobo et bobotte qu'on préfère la ligne claire d'hergé et sa vision politique - n'en déplaise à péguy - à la tartine mystique, aqueuse et floue du trait et au salmigondis ésotérico-kabbalistique d'hugo pratt -
[comme si on ne pouvait apprécier les deux pour des raisons différentes tentai-je hier de dire à crécelle de spumo qui manqua de s'étouffer en finissant son douzième verre de rosé, avant d'aller faire l'éloge des spéculateurs de wall street et de la cuisine bio]

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