il m'arrive, en voyant quelqu'un s'abîmer dans le puits sans fond d'une lecture - le dernier que je remarquais lisait mrs dalloway dans le wagon du t.e.r. qui me conduisait à la clinique -, de sentir mon coeur gonflé d'une manière de gratitude, comme si soudain j'avais un compagnon de solitude, et d'oser dans toute ma naïve candeur me dire que je ne suis pas tout à fait seul...
dimanche 14 juillet 2013
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