on peut lire, dans vies imaginaires de marcel schwob, à propos de l'auteur du satyricon :
"pétrone désapprit entièrement l'art d'écrire, sitôt qu'il vécut de la vie qu'il avait imaginée."
au fond peut-être le but ultime s'il en existât jamais un de la littérature : se fabriquer une vie vivable pour n'avoir plus jamais à écrire -
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