mardi 27 septembre 2011

divine idylle

lors d'une émission consacrée au divin marquis, raphael quatre consonnes et trois voyelles parlait de l'impossibilité de lire jusqu'au bout et sans traumatisme les cent vingt journées de sodome, oeuvre programmatique et d'une modernité de forme (sinon de fond) quasi absolue - opinion partagée par mon ami benjamin p. de grrr., cynophile convaincu et grand lecteur du dix-huitième siècle -
quant au fait que le livre constitue la lecture annuelle et rituelle de mon autre ami thomas von t., qui dévore l'ouvrage tous les étés avant d'aller bronzer sur les plages de la baule les pins en toute impunité, je me refuse à en tirer des conclusions trop hâtives...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire