dimanche 15 mai 2011

l'homme de désir

se révélant dans sa suite du sofitel new-yorkais un homme désirant, un homme qui ne trouve pas la chair triste et ce loin de l'image frileuse sinon frigide du calculateur et de l'économiste, du président du fmi, dsk enfin nous dévoilait un pan méconnu de sa personnalité et, au final, cette part d'humanité dont nous pouvions douter -

et c'est quand enfin il nous crie une serviette autour de la taille je suis un homme je suis aussi un homme de désir et de pulsions qu'on l'enferme, comme un aliéné - qu'on veut lui châtrer son humanité ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire