lundi 21 février 2011

autobahn

quand carole de d. rend visite à mon épouse oriane, nous lui concoctons un programme inoubliable - j'évite d'entrer dans le détail pour ne pas faire de jaloux, et pour qu'une partie de l'humanité ne prenne pas conscience à cette lecture de son néant et de son insignifiance -
après deux jours dans un village de pêcheurs et une journée sur les traces d'orson welles, nous décidons, dans un dernier élan de folie, de finir le trajet en prenant l'autoroute -
évidemment, c'était la première fois qu'elle prenait une autoroute africaine...
quand je ne leur procure pas une stupéfiante vibration de désir, j'arrive tout de même à provoquer chez la femme celle immense de l'aventure perpétuelle //

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