mardi 1 juin 2010

autofiction

voilà ce que j'ai eu l'illusion de lire dans La Mouette de Tchékhov (acte premier) :

"Pour ce qui est de ses écrits, c'est... comment te dire ? Aimable, plein de talent, mais... après Tolstoï et Zola on n'a pas envie de lire Laurent Isel."

peut-être est-ce ma destinée d'écrivain du tiroir...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire