lundi 27 juin 2011

quarante à l'ombre

j'ai beau accepté l'injure quotidienne et sans remède de l'existence, son acharnement frôle parfois la torture ; et quand c'est la chair de sa chair qui se fout de nous et qui ricane... ainsi mon fils naom, hier, me contemplant - regard dejà moqueur, incisif - extirper mon cadavre tout trempé de la piscine, me lance un je te verrais bien faire du hip hip papa qui justifie la claque qu'il reçoit dans la seconde //

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