mardi 19 avril 2011

souvenirs d'afrique

c'est, sur les eaux bourbeuses du lac abyata où je chassais le saurien à mains nues, en regardant un hippopotame droit dans les yeux - l'animal d'ailleurs baissa le groin avec comme du respect dans son oeil torve et humide - que je saisis la méchante idiotie de la création

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire