mardi 18 mai 2010

jean racine II

on peut lire ceci dans Bajazet (V, 4) (j'ai choisi l'acte V pour montrer que j'avais tout lu...) :
"Les moments sont trop chers pour les perdre en paroles"
dans le drame quotidien des brasseries, parisiennes ou provinciales, on lirait plutôt ceci :
"Les moments sont si creux qu'on les meuble en paroles"

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