chaque fois que je trimballe ma liberté d'expression capillaire devant un salon de coiffure pour hommes - espérant rencontrer une quelconque marylou et évoquer avec elle les vices de carole - je n'aperçois que l'oeil avide et la babine humide d'un solide coiffeur bien barbu : il me sourit en aiguisant ses instruments - je préfère passer mon chemin sans témérité -
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