de lucius, cher ami, "si la maladie peut n'être point trop douloureuse, la guérison apporte toujours son chapelet de souffrances."
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
skip to main |
skip to sidebar
Messages les plus consultés
-
en feuilletant négligeamment le dictionnaire des mots rares et précieux (cf. la bibliographie de ma thèse de doctorat aux chiottes les livr...
-
"il est temps que tous les honnêtes gens s'unissent afin de résister aux ravages des privilégiés avides." dos passos, 42èm...
-
il y a toujours quelque chose de rageant à se faire dépasser dans une file d'attente, ici ou ailleurs, par une vieille dame (âgée) qui ...
-
j'apprends par l'intermédiaire de jacques gaillard - mon prof de littérature latine à la fac - et de son livre Amours tordues que b...
-
mon ami sb de k., journaliste et analyste, me parlait du petit village de croetwiller "fief de fieffés cons" pour reprendre ses ...
-
dans l'éblouissant ouvrage de roberto bolano, à côté de mille et une réflexions sur la littérature (qui constitue un appel fondamental...
-
ce week-end, alors que je faisais sans faire d'esclandre un malaise vagal (aussi appelé lipothymie vagale, choc vagal ou syncope vaso-v...
-
l'auteur de ces lignes a beau avoir une hygiène de vie exemplaire - quoique ayant fait le choix de la noyade dans un verre plutôt que de...
-
quel ne fut pas mon désapointement en découvrant que je figurais pas dans le corpus du savoureux ouvrage de monsieur di folco, les grandes ...
-
l’autre jour, écoutant la radio dans ma belle automobile, je tombe sur une jeune femme intelligente, qui explique que pour goûter l’é...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire